Nos Boursiers

Sélection des projets de recherche
Home / Nos Boursiers / Docteur Alexis ARROBA

Alexis ARROBA

Qualifications:
2021 : Master en sciences bio-médicales

Années bourse(s):
2021-2022, 2022-2023, 2023-2024, 2024-2025: "Bourse Loterie Nationale"



La recherche en bref !



Le projet

Study of the gender dimorphism of the inflammatory response in early life: Contribution of human umbilical endothelial cells and potential role of microRNAs

Superviseurs du projet

Prof. Mustapha Chamekh, PhD, HDR
Co-promotor: Prof. Georges Casimir, MD, PhD

Laboratoire ou Hôpital la majeure partie du projet se déroule

Pediatric Laboratory, Faculty of Medicine, HUDERF-Brugmann Campus, ULB


Résumé

Des études pédiatriques antérieures indiquent que les hommes et les femmes présentent une susceptibilité différente aux maladies inflammatoires d’origine infectieuse et non infectieuse. Les différences de la réponse inflammatoire entre les sexes s'observent dès le début de la vie. En effet, des études sur les maladies infectieuses affectant le chorion et l'amnios (chorio-amnionite) chez les femmes enceintes ont révélé une prévalence plus élevée chez les mères ayant un foetus de sexe masculin que chez celles ayant un foetus de sexe féminin. Il est intéressant de noter que les cellules endothéliales ombilicales humaines (HUVECs) ont un phénotype spécifique au sexe. Cependant, leur contribution au dimorphisme sexuel de la réponse inflammatoire n'est pas connue. Tout comme les cellules immunitaires, les HUVECs réagissent aux changements physiologiques du microenvironnement cellulaire et peuvent produire des médiateurs inflammatoires lorsqu'elles sont stimulées par des antigènes microbiens. Dans ce projet, nous étudions le rôle potentiel des HUVECs dans le dimorphisme de la réponse inflammatoire en fonction du genre. Nous nous intéressons particulièrement au rôle potentiel d'un groupe de petites molécules d’ARN non codants (microARN) dans la modulation du processus inflammatoire. Cette étude contribuera à élucider les mécanismes qui sont à l'origine des différences observées entre les sexes dans la physiopathologie des maladies inflammatoires et pourrait ouvrir la voie vers la mise au point de stratégies d’optimisation du suivi clinique et la conception d'une thérapie spécifique en fonction du genre.



Découvrez comment faire >